Voilà un jeu qui a alimenté bien des fantasmes. Les fantasmes d’un ancien adolescent ayant grandi dans les années 1990, s’entend. Biberonné à Doom, Duke Nukem 3D et aux wargames consistant à peindre puis se faire s’affronter des armées de plomb, un rétro FPS dans l’univers de Warhammer 40K représentait forcément pour moi une épiphanie. Sitôt sorti, voilà Warhammer 40’000: Boltgun installé. Je me rue illico sur mon sacrosaint combo…
Me voilà en vacances, allongé sur un transat entre deux trempettes dans la piscine. Je lève les yeux de mon livre pour observer les autres usagers qui profitent des aménagements pour se rafraichir un peu. Et me revient alors soudainement la vision du détective Hercule Poirot en vacances, lui aussi. Zut, il semblerait que je n’ai pas fini d’écrire mon test avant de partir. Fasse à cette inéluctable déduction, je…