Dans le jargon du jeu vidéo, comme dans celui du cinéma, lorsque l’on reprend un ancien titre et qu’on l’adapte au goût du jour, on appelle ça faire un « remake ». Paper Mario – La Porte Millénaire est un exemple récent de ce genre de processus. Ce n’est pas une pratique que j’apprécie de manière générale, car bien souvent il s’agit de capitaliser sur la nostalgie pour nous revendre un jeu…
Je suis assez critique face à ce documentaire, notamment pour son approche approximative et qui frise parfois la condescendance adulte vis-à-vis du monde des adolescents. Cependant, je lui reconnais volontiers deux qualités: premièrement, Gilles Vernet ouvre la discussion avec ses élèves et pour ça je lui tire mon chapeau. Deuxièmement, les jeunes que l’on entend dans le documentaire sont d’une clairvoyance incroyable, sans même s’en rendre compte. Lorsqu’ils nous disent…
À l’heure de la post-vérité, voici un test tout à fait objectif. J’ai testé tous les jeux de rallye, tous ! Je suis très fort en jeux de rallye, le meilleur même. Personne ne connaît mieux les rallyes que moi. J’ai tout vu : des cailloux, du gravier, beaucoup d’arbres. Des beaux, des moches, des arbres de profil. Saviez-vous que les pilotes de rallye mangent des chiens et des chats…
Voilà venir la première extension pour Diablo 4. Vessel of Hatred nous propose, soi-disant, de continuer la trame de la campagne originelle, amenant avec une nouvelle classe, le moin… euh non le spiritborn. Un moine avec des esprits animaux. Qui n’est ni un witch doctor, ni un moine, ni rien d’autre qu’un spiritborn, d’abord. La suite à lire ici:
Interview croisées avec Thomas Rhomer.
Vous le savez si vous lisez les publications des jeunes PLR sur Facebook, on n’aime pas la réussite dans ce pays. Pourtant des entrepreneurs avides de réussite c’est pas ce qui manque, et Drug Dealer Simulator 2 vous propose de réaliser vos rêves libéraux les plus fous. Bâtissez un empire de la drogue en partant de presque rien pour conquérir le monde ! Développé par Byterunners Game Studio et édité…
Voilà un jeu qui a alimenté bien des fantasmes. Les fantasmes d’un ancien adolescent ayant grandi dans les années 1990, s’entend. Biberonné à Doom, Duke Nukem 3D et aux wargames consistant à peindre puis se faire s’affronter des armées de plomb, un rétro FPS dans l’univers de Warhammer 40K représentait forcément pour moi une épiphanie. Sitôt sorti, voilà Warhammer 40’000: Boltgun installé. Je me rue illico sur mon sacrosaint combo…
Me voilà en vacances, allongé sur un transat entre deux trempettes dans la piscine. Je lève les yeux de mon livre pour observer les autres usagers qui profitent des aménagements pour se rafraichir un peu. Et me revient alors soudainement la vision du détective Hercule Poirot en vacances, lui aussi. Zut, il semblerait que je n’ai pas fini d’écrire mon test avant de partir. Fasse à cette inéluctable déduction, je…